Magie Celtique ― Avant-goût d’éternité (anthologie), Ed. Sortilèges0

Posted on août 13th, 2013 in LITTÉRATURE

Envie de refaire le plein de Brocéliande, d’elfes et de magie ?

 

Quatrième de couverture: Magie celtique réunit six nouvelles fantasy inédites inspirées de la magie et des légendes celtes. Des textes à la fois modernes et enchanteurs qui nous emmènent au cœur des forêts légendaires et d’une nature toujours plus magique. Des personnages aussi connus que Merlin, Arthur et Morgane prennent vie pour de nouvelles aventures. Tandis que d’autres héros côtoient pour la première fois créatures féeriques et divinités, changeant à jamais leur vision de la vie, mais surtout de la mort. Franchissez le seuil de l’Autre Monde, en route pour un voyage ensorcelant à travers l’imaginaire.

Avis perso: Les Editions Sortilèges proposent une autre anthologie celtique, plus lumineuse. Comme la lecture remonte à une éternité, je ne me souviens plus de tous les détails mais je me rappelle clairement avoir préféré ce volume à l’autre anthologie celtique, tout simplement parce que les histoires finissent bien.

–          In memoriam de Flora Greys

Histoire triste. On démarre avec la mort de l’amour du héros puis il découvre son héritage divin et se lance dans une mission.

–          Mel de Kévin eïron Devis

L’histoire d’un jeune orphelin qui noue accidentellement un lien avec des créatures magiques de la forêt.

La chute est intéressante.

–          Marwelna la Magicienne de Magali Herbert

L’histoire d’une vie. La narration s’étale souvent sur plusieurs années.

–          Le chaudron des âmes d’Anne Rossi

Héroïc fantasy avec des anges. J’aime beaucoup. C’est probablement mon histoire favorite dans ce recueil. Une ange débarque du ciel épaulée par Merlin et Arthur pour affronter des démons et récupérer des artefacts légendaires.

–          Les oubliés de Flora Greys

Un peu de chevalerie… Un paladin court se cacher dans la forêt de Brocéliande où une habitante décide d’outrepasser les lois locales pour le rencontrer et, plus tard, tisser une histoire d’amour.

–          Uffin d’Elfenn

Et on termine avec l’histoire d’un enfant autiste. Comment ? Qu’est-ce que cette histoire vient faire dans cette anthologie me demanderez-vous ? J’ai cru à une erreur au début mais l’histoire est montée à la « King » : on part d’une réalité triste et grise pour introduire des éléments fantastiques et finalement basculer dans l’autre monde.

Enfin une histoire qui finit bien (sans sombrer dans la mièvrerie rose bonbon non plus).

Leave a Reply